Pour la toute première fois, le père de Charlène de Monaco est sorti de son silence et s’exprime sur l’état de santé de sa fille. Cette dernière qui selon le communiqué du palais serait placée dans un établissement spécialisé.
Des mois difficiles
Charlène de Monaco est restée recluse en Afrique du Sud pendant huit mois à partir du mois de mars dernier. À l’origine, elle s’y est rendue pour assister aux funérailles du Roi des Zoulous Goodwill Zwelithini. Par la même occasion, la princesse a apporté son soutien aux associations qui luttent contre le braconnage. Malheureusement, elle est tombée malade. Touchée par une terrible infection de la sphère ORL, l’ex-nageuse est au plus mal. De jour en jour, son état de santé se dégrade au point qu’elle est contrainte de subir plusieurs lourdes opérations. D’ailleurs, elle ne pouvait pas prendre l’avion, ce qui l’a empêché de rentrer sur le Rocher.
Pour donner de ses nouvelles, Charlène de Monaco est devenue très active sur les réseaux sociaux. Ainsi, elle publie des photos sur Instagram. Sur lesquelles, elle apparaît méconnaissable et amaigrie. Cependant, si le père de Charlène de Monaco se trouvait en Afrique du Sud à ce moment, il ne l’ait pas vu. Lors d’une interview accordée au média You, Michael Wittstock s’est confié : « À nos âges, nous devons être très prudents. Je ne voulais pas non plus l’infecter parce qu’elle avait subi tant de procédures médicales et elle était vulnérable ».
Charlène de Monaco, son père rassure sur son état de santé
Cependant, il assure qu’il est en très bons termes avec sa fille et ses enfants. Pour cela, il tenait à démentir toutes les rumeurs qui circulent sur un supposé conflit entre lui et sa fille. Dans les colonnes du média, il souligne ainsi : « Nous nous sommes parlé régulièrement au téléphone et je parle avec les jumeaux. Nous avons une excellente relation ».
Face à l’état de santé de Charlène de Monaco, son père se veut optimiste. Pour Michael Wittstock, sa fille va s’en sortir plus forte de cette terrible épreuve. Tout cela, grâce à son passé de sportive de haut niveau : « Ma fille avait l’habitude de nager 20 km par jour (…) En sachant la façon dont elle s’entraînait, je sais qu’elle est dure et qu’elle s’en sortira et elle en sortira beaucoup plus forte ».