On constate qu’au moment du changement d’heure pour l’été, beaucoup ne savent pas si on avance ou si on recule. Dans cet article, nous vous montrons des astuces pour ne plus l’oublier.
Le changement d’heure
Cela faisait longtemps qu’on débâtait sur ce sujet. Une heure en plus ou une heure en moins après le changement ? En effet, dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 mars la traditionnelle modification d’horloge va faire son retour. Dommage pour les marmottes, l’heure d’été nous fait perdre une heure de sommeil. Ainsi, à 2 heures du matin dimanche ce dimanche, il sera en réalité 3 heures.
Pour les plus étourdis, il n’est pas toujours facile de distinguer le passage à l’heure d’hiver e let passage à l’heure d’été. Afin de ne plus faire la confusion, cette méthode est à adopter. Il s’agit d’un moyen mnémotechnique des plus enfantins permettant de plus confondre les changements d’heure. En effet, le dernier dimanche d’octobre, on recule d’une heure, alors qu’en mars, on avance d’une heure. Vous constaterez qu’à la fin du mot octobRE, il faut donc REculer les aiguilles d’une heure. En revanche, le dernier week-end de mars, juste avant l’arrivée d’AVril, il convient d’AVancer les aiguilles d’une heure. Une astuce pour ne plus arriver en retard (ou très en avance) le lundi matin au travail. Vous l’avez ?
Un système qui va encore durer longtemps ?
Ce moyen mnémotechnique pourrait au bout du compte s’avérer utile plus longtemps que prévu. La raison est toute simple, la volonté de supprimer ce système d’horloge ne semble plus vraiment à l’ordre du jour. Cela est valable que ce soit à l’échelle française et même européenne. Pourtant, l’abandon du changement d’heure était aurait dû avoir lieu en 2021. Cependant, l’arrivée de la pandémie de Covid-19 début 2020 a bousculé les plans européens sur cette question, qui n’a depuis plus été soulevée.
À savoir que le concept de changement d’horloge a été inventé au début du XXe siècle. L’objectif est de faire des économies sur la consommation de charbon. En outre, il a vraiment trouvé sa place dans l’Hexagone en 1976, après le choc pétrolier de 1973-1974. Un moyen d’adaptation aux heures où le soleil se lève et se couche pour réduire le coût et plus généralement la consommation des ressources énergétiques.