Une mère de famille de 35 ans avec trois enfants a quitté son ancien travail pour créer son propre business. Et ce n’importe lequel ! En effet, cette ancienne femme de ménage d’un hôtel a lancé un service dont le but est de nettoyer la maison sans vêtements. On vous dit tout !
Femme de ménage : nettoyer la maison sans vêtements
D’abord, la femme de ménage qui a créé ce service qui consiste à nettoyer une maison sans vêtements s’appelle Claire O’Connor. Elle a quitté son emploi de femme de ménage dans un hôtel pour créer Fantasy Clean et espère employer aussi bien des femmes que des hommes si l’entreprise réussit. Claire O’Connor de Walderslade, dans le Kent, au Royaume-Uni, ajoute : « Les premières visites peuvent être gênantes, mais cela s’estompera au fur et à mesure que j’apprendrai à connaître un client ».
Ensuite, la condition est juste de la laisser faire son boulot. « Il n’y aura pas de contact, pas de photos et pas d’extras. J’entre, je fais mon travail et je m’en vais ». Son tarif horaire est de 120 $ pour un nettoyage sans vêtements, 110 $ sans les seins et 97 $ en lingerie ou dans une tenue de soubrette française. Le fait de nettoyer la maison sans vêtements rapporte donc beaucoup à cette femme de ménage.
Les avis divergent concernant ce service très particulier
Son mari Rob, 39 ans, pensait qu’elle plaisantait quand elle lui a parlé de son idée, mais il assure qu’il est d’accord avec ça maintenant. Donc, le fait que sa femme s’exerce en tant que femme de ménage qui vient nettoyer une maison sans vêtements ne lui dérange pas. Mais même si son mari soutient ses projets, le public a pris la parole sur Internet pour exprimer leur soutien ou leur dégoût.
Par exemple, un résident local a dit : « Cela donnera aux vieux garçons quelque chose à se mettre sous la dent, je suppose ». Un autre habitant a écrit en ligne : « Ça dépasse l’entendement. Une lapdance avec un Dyson ? ». Puis, il a ajouté : « Jusqu’où certaines personnes vont-elles descendre pour gagner de l’argent. C’est une forme de prostitution. N’y a-t-il plus rien de sacré ou de décent dans ce monde ? ». Ou encore, « Je pense que la loi devrait intervenir et interdire cette idée dégoûtante ».