Emmanuel Macron a établi une nouvelle offre de réforme sociale. Mais la société se demande sur les circonstances de cette grande affaire de changement du service public. Nous allons donc vous racontez tout cela en détail.
L’offre d’Emmanuel Macron est une réforme sociale de valeur
Bien entendu, l’offre qu’Emmanuel Macron a faite est immense. Mais qu’est-ce qu’elle comporte exactement ? Comme l’indique le journal de FranceInfo, le « versement à la source » ne pose pas des incompréhensions considérables. Le « versement à la source » signifierait donc une prestation sociale. Même s’il est défini et précisé, ce n’est pas suffisant pour comprendre la grandeur de cette proposition. Parce qu’en effet, le processus entier va être également modifié. Comme le cas des fonctionnaires qui pourraient être définitivement renvoyés. Les Français ont donc besoin de connaître les sommes qui entraîneront cette offre.
En premier lieu, vous devez savoir qu’Emmanuel Macron n’a pas proposé cette offre juste comme ça. Pendant ses cinq ans de mandat, le président de la République a mis l’entaille sur l’apaisement administratif. Cette réforme consiste à standardiser les prestations sociales. En particulier, par rapport aux barèmes d’attribution. C’est de cette façon qu’il est possible de vérifier un « revenu social de référence ».
Les répercussions financières et sociales de cette proposition
Pour encadrer le financement d’une telle offre, les entourages d’Emmanuel Macron évoquent de nombreux points. Mais il agit également de se souvenir que ce sont des milliards d’euros de prestations sociales qui ne sont pas demandés chaque année par les ayants droits. De fait, cette proposition pourrait alors valoir encore plus cher qu’elle ne le devrait. Parce qu’à ce terme, elle ferait en sorte que tous les ayants droits profitent systématiquement des prestations sociales qu’ils sont en droit de l’exiger.
L’État doit alors faire des économies pour mettre en œuvre cette réforme du « versement à la source ». Et elles seront alors à retrouver chez les fonctionnaires. Ce qui signifie qu’il n’y a pas donc de suppression de travail.