Dans une nouvelle interview, Brigitte Bardot a donné des nouvelles particulièrement inquiétantes à son sujet. « Je vais très mal », a avoué Brigitte Bardot. On vous dit tout.
Elle a fondée une association
Il fut un temps, Brigitte Bardot était connue comme étant une icône du cinéma, de la mode et de la musique, mais pour les plus jeunes. En effet, elle est surtout l’une des plus grandes militantes pour la cause animale de France. Depuis 1986, année où elle décide de fonder sa fondation éponyme. La star œuvre à travers l’Hexagone et le monde entier pour protéger les animaux. La majorité de ses interventions publiques sont d’ailleurs justifiées par ce sujet.
En août dernier, l’un de ses coups de gueule concernant la corrida avait fait couler beaucoup d’encre sur la Toile. « Je vous souhaite une vie de merde », a-t-elle déclaré sur Twitter, s’adressant aux organisateurs de cette pratique. Depuis, Brigitte Bardot ne décolère pas. En octobre dernier, sa fondation a publié une vidéo de scènes insoutenables lors de la foire chevaline organisée à Maurs, dans le Cantal. On y voit des chevaux violentés et entassés dans des box minuscules. « J’ai pleuré en regardant ces images. Je n’ai pas pu aller jusqu’au bout », a-t-elle déclaré, Brigitte Bardot est au plus mal.
Brigitte Bardot au plus mal
Plusieurs semaines après la publication de la vidéo, Brigitte Bardot ne cache pas qu’elle a toujours mal en voyant les images d’horreur filmées dans la fameuse foire chevaline. « Je ne veux plus que cette foire existe. Ni que la France soit la plaque tournante d’un commerce scandaleux de chevaux condamnés à mort », a-t-elle indiqué. Néanmoins, la star ne se décourage pas et précise qu’elle poursuivra sa bataille quoi qu’il en coûte: « Je n’ai jamais baissé les bras. Parfois, oui, j’ai été découragée, car il en faut une puissance de courage, d’obstination et d’amour pour continuer envers et contre tout pendant cinquante ans ».
Aujourd’hui, Brigitte Bardot avoue que l’actualité concernant les animaux la bouleverse quotidiennement. « Je vais très mal. Le moral à zéro », a-t-elle précisé, avant d’ajouter qu’elle compte bien faire durer son association, et ce même après sa disparition : « La fondation continuera après moi, j’ai pris mes dispositions pour que les choses continuent après ma mort. J’ai une équipe formidable. C’est bien ce qu’on appelle le combat d’une vie.