Vendredi 28 octobre, Jean-Pierre Elkabbach était l’invité de C à vous pour la sortie de son livre. Jean-Pierre a évoqué son entretien avec Brigitte Bardot. Lors duquel l’actrice a annoncé la fin de sa carrière, un moment pour le moins stressant à l’époque.
Jean-Pierre Elkabbach : confidences sur la fin de carrière de Brigitte Bardot
En ce mois d’octobre, Jean-Pierre Elkabbach fait un retour remarqué dans les librairies. Le journaliste, toujours actif à l’antenne de CNews le dimanche, sort Les rives de la mémoire aux éditions Robert Laffont, livre dans lequel il évoque ses souvenirs avec les présidents de la République, de François Mitterrand à Emmanuel Macron.
Des échanges qui changent de ses rapports avec les autres animateurs français. Notamment un Jean-Luc Delarue « obsédé par le fric » : « À un moment il y a eu une rupture avec nous parce qu’il n’a pas su tenir ses engagements » raconte celui qui était à l’époque directeur de France Télévisions. Outre les chefs d’Etat et leurs Premier ministres, l’intervieweur a également eu en face de lui de nombreuses stars françaises avant sa longue hospitalisation qui l’a laissé absent des plateaux télévisés pendant près d’un an. Notamment une certaine Brigitte Bardot.
« On était subjugués »
Le 9 avril 1973, l’immense star du cinéma français Brigitte Bardot se présente face à Jean-Pierre Elkabbach et d’autres personnalités. Une interview qui n’aura pourtant pas été simple à décrocher. Comme il l’a expliqué sur le plateau de C à vous ce vendredi : « On avait tellement discuté pour l’avoir et elle avait dit ‘je ne veux pas de journalistes’, c’est pour ça que vous avez 4 personnes qui étaient très connues à l’époque, Lucien Bodard, René Barjavel, Claude Sarraute et François Nourissier » se souvient le présentateur.
Une interview culte, puisque Brigitte Bardot explique ne pas envisager une carrière éternelle au cinéma. Et révèle sa volonté de trouver une nouvelle voie, qui finira par être la défense des animaux. « Entre nous, ils étaient tous comme ça » lance-t-il en faisant trembler sa main. « Elle dit dans ses mémoires, paraît-il qu’elle avait des tortionnaires en face, ce n’est ce n’est pas vrai, on était tous les cinq subjugués, elle était magnifique, elle était sincère » ajoute-t-il. Une admiration qui persiste 50 ans plus tard ?