Benjamin Biolay, pass sanitaire, incohérences, le chanteur pousse un coup de gueule

Benjamin Biolay, pass sanitaire, incohérences, le chanteur pousse un coup de gueule

Sur une série de publications sur Instagram, Benjamin Biolay a fait savoir sa colère contre le gouvernement concernant le pass sanitaire et ses conséquences. Pour l’occasion, le chanteur en profite pour tacler les incohérences.

Benjamin Biolay tacle le gouvernement

Récemment, le ministre du Travail, Elizabeth Borne, a annoncé l’introduction d’une procédure de suspensions du contrat de travail sans rémunération pour les salariés sans pass sanitaire valide. Pourtant, la réalité sur le terrain serait tout autre. En effet, certaines personnes souhaitant se faire vacciner ne pouvaient pas le faire. Une situation qui a poussé Benjamin Biolay à sortir de son silence.

Sur son compte Instagram, le chanteur a partagé une information de France 3 confirmant le manque de doses de vaccins Pfizer. De ce fait, les 1res injections seront alors suspendues. On pouvait ainsi lire : « Les remontées du terrain qui nous parviennent sont inquiétantes : les doses manquent. Donc, il faut ralentir le rythme et notamment suspendre les rendez-vous pour la 1re dose ».

Furax, Benjamin Biolay dénonce les incohérences sur la gestion de la crise sanitaire, notamment la vaccination. Le chanteur lyonnais pousse ainsi un coup de gueule : « Déjà, pour certains centres de vaccination, par le site Doctolib, il est impossible de prendre des rendez-vous, même pour la deuxième dose, avant mi-août voire fin août ».

«Nous continuons à mourir dignement…»

Rappelons que ce n’est pas la première fois que Benjamin Biolay pointe du doigt la gestion de la crise sanitaire. Lors du début du deuxième confinement, il a déjà critiqué les mesures mises en place par le gouvernement. Contrainte de prendre une décision radicale, il a écrit : «Victimes une fois de plus des décisions absurdes, ubuesques et orwello-kafkaiennes du gouvernement français, nous sommes contraints de repousser la sortie de la réédition de Grand prix ainsi que de Circuit court (Ep regroupant les cinq inédites) au 11 novembre».

Très remonté à l’époque, il a interpellé le Premier ministre Jean Castex en lui exposant la situation du secteur de la culture. «Nous continuons à mourir dignement comme vous le voyez Jean Castex. Bonne fin de journée dans le simulateur de vol», a-t-il balancé.

Publications similaires