Baisse du chômage : ces preuves qui démasquent la magouille de la Macronie

La baisse du chômage est souvent annoncée comme un indicateur clé de la réussite économique d’un pays. Cependant, des voix critiques se font entendre, remettant en question la réalité de cette baisse et pointant du doigt une possible propagande gouvernementale. Cet article explore les preuves qui suggèrent que la baisse du chômage sous la Macronie ne serait pas aussi prometteuse qu’elle le paraît.

La baisse du chômage de la Macronie n’est qu’une propagande

Les chiffres officiels présentés pour démontrer la baisse du chômage peuvent être trompeurs. Il faut prendre en compte quelques points. D’abord, les catégories de chômeurs. Les statistiques ne tiennent pas compte de la catégorisation des chômeurs, ce qui peut donner une image biaisée de la réalité. Certains demandeurs d’emploi sont classés dans des catégories différentes, ce qui peut minimiser le taux de chômage réel. Ensuite, le chômage partiel. L’utilisation accrue du chômage partiel pendant la période de la pandémie a pu influencer artificiellement les chiffres.  Les employeurs ont pu maintenir leurs effectifs sans licencier formellement. Puis, les emplois précaires. La création d’emplois peut masquer la précarité de ces emplois. Notamment, avec des contrats à durée déterminée ou à temps partiel, qui ne garantissent pas la stabilité financière à long terme. Ainsi, la baisse du chômage déclarée par la Macronie est peut-être que de la propagande.

Les réalités cachées

Malgré la propagande de la Macronie, certaines réalités du marché du travail contredisent la baisse du chômage annoncée. D’abord, le chômage de longue durée. En effet, les chiffres du chômage ne tiennent souvent pas compte des personnes qui sont sans emploi depuis longtemps et qui ont cessé de chercher activement du travail. Cela peut masquer une partie de la population qui reste désespérément sans emploi. Ensuite, les contrats précaires. La prévalence des contrats précaires, tels que les contrats de travail temporaire, ne contribue pas à une stabilité à long terme sur le marché de l’emploi. Ces emplois sont souvent peu rémunérés et instables, laissant les travailleurs vulnérables. Enfin, les reconversions professionnelles. La reconversion professionnelle peut également brouiller les chiffres du chômage. Certains demandeurs d’emploi peuvent opter pour des formations ou des études supplémentaires pour se réorienter professionnellement. Ainsi, ils sont exclus temporairement des statistiques du chômage.

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