ATTENTION RSA : de nouvelles sanction prévues pour les allocataires de cette aide
Dans un discours, Elisabeth Borne a parlé des nouvelles sanctions vis-à-vis des allocations comme le RSA. Les bénéficiaires qui ne suivent pas à la lettre les mesures d’accompagnement c’est-à-dire la réinsertion professionnelle seront punis.
De nouvelles sanctions concernant les allocations comme le RSA
Pour son second quinquennat, Emmanuel Macron a décidé de mettre en place plusieurs changements. En plus, de la réforme des retraites, il a aussi mis au point un objectif à atteindre comme le plein emploi en France. Ainsi, pour cela, le gouvernement a comme projet de réorganiser les services liés à l’emploi avec l’aide de “France Travail”. Il s’agit d’une société qui deviendra le nouveau Pôle Emploi. D’ailleurs, ce projet de loi va être présenter au conseil des ministres au mois prochain.
Durant son déplacement Première Ministre à La Réunion ; Elisabeth Borne a affirmé les nouvelles sanctions avec les allocations comme le RSA. Des sanctions en cas de non-respect des mesures d’accompagnement de ce nouveau projet de loi. « Il sera possible d’annuler ces mesures de façon provisoire pour démarrer. Dans tous les cas, des sanctions seront prévues une fois qu’on aura réalisé notre part de responsabilité » avait déclaré la première ministre.
Des départements en phase de tests depuis peu
Les nouvelles sanctions qui touches les allocations comme le RSA sera effective dès que les autres “problèmes préalables” seront réglés. Effectivement, Elisabeth Borne faisait référence aux problèmes avec la garde d’enfant. Une expérimentation a vu le jour le mois dernier dans plusieurs départements français. Ce fut le cas dans la Somme, de l’Aisne, de l’Eure, des Vosges, de la Mayenne, de L’Ille-et-Vilaine, de la Loire-Atlantique. Il en est de même dans les Yvelines, du Loiret, de l’Yonne, de la Côte-d’Or, de la Creuse, de l’Aveyron, des Pyrénées-Atlantiques. Par ailleurs, les Bouches-du-Rhône, de la métropole de Lyon ou encore de la Réunion y ont aussi droit. « On veut accorder les capacités à faire évoluer ensemble les activités locales, le conseil départemental, les départements en charge de la formation des demandeurs d’emplois. On fait tout le possible pour encadrer au mieux les allocataires du RSA”.