Selon le résultat d’une recherche, il y a deux facteurs de risques de la maladie d’Alzheimer. Les personnes qui présentent ces facteurs ont un taux élevé de développer cette maladie. La France détient un nombre élevé de personnes victimes de la maladie d’Alzheimer. Cependant, il est rare d’en développer avant 65 ans. Elle s’explique en général par des pertes de mémoires associés à des troubles cognitifs plus généraux. Ces symptômes sont très handicapants dans la vie quotidienne. D’après la revue JAMA Network Open, une prédisposition génétique à une tension artérielle et à un taux de cholestérol élevés cause la maladie d’Alzheimer.
Les facteurs de risques de la maladie d’Alzheimer : les personnes avec un taux de cholestérol « HDL » élevé
Pour avoir de tel résultat, il a dû mener à bien des recherches. Ainsi, pour ce faire, les scientifiques ont choisi d’étudier les données de près de 39.106 personnes. En effet, ces personnes ont déjà été diagnostiquées de la maladie d’Alzheimer. Puis, il y avait aussi 401.577 autres personnes qui n’avaient en aucun cas aucun symptôme de la maladie. Bien évidemment, les chercheurs se sont penchés sur le taux de cholestérol et la pression artérielle de chaque participant. Par conséquent, ils ont remarqué que les personnes avec un taux élevé de cholestérol HDL, aussi appelé « le bon cholestérol » risquent de développer cette maladie. Le bon cholestérol fait donc partie des facteurs de risques de la maladie d’Alzheimer.
L’hypertension artérielle
Durant cette étude, les chercheurs ce sont aussi penchés sur d’autres données. Effectivement, ils ont remarqué que l’hypertension artérielle est aussi l’un des facteurs de risques de la maladie d’Alzheimer. « Les résultats de la recherche ont notamment ont « mis en évidence de nouvelles associations génétiques. En effet, c’est entre des concentrations élevées de cholestérol HDL et une pression artérielle systolique élevée. Ces derniers présentent des risques plus élevé de maladie d’Alzheimer » avait conclu le résultat de cette recherche sur la maladie d’Alzheimer. « Ces résultats vont probablement inspirer un nouveau ciblage des médicaments. Sans oublier une meilleure mise en charge de la prévention de cette maladie », affirment les chercheurs.