Dans cet article, découvrez pourquoi il faut toujours de méfier de l’arnaque aux chèques. On vous explique tout !
L’arnaque aux chèques continue de frapper fort !
Bien sûr, il y a différents types d’escroquerie. Par exemple, la vente forcée par téléphone, billet sous votre essuie-glace, bons d’achat alléchants. Ce sont des vieilles méthodes qui fonctionnent toujours. Cependant, l’arnaque aux chèques sort du lot. En effet, cette manière d’escroquer marche encore. Elle reviendrait même en force selon nos confrères du Parisien. En fait le chèque reste le second moyen de paiement le plus fraudé alors même qu’il est de moins en moins utilisé… sauf chez les seniors qui continuent à affectionner ce carnet à remplir. Le chèque fait face à une croissance de la fraude de près de 25 millions d’euros. Ce chiffre vient du rapport annuel de l’Observatoire de la sécurité des moyens de paiement (Banque de France).
Les deux principales fraudes sont liées à l’utilisation des titres perdus ou volés et à leur falsification. Ensuite, le montant moyen d’un chèque frauduleux est toujours de 2 577 euros ! Méfiez-vous quand vous sortez votre chéquier pour faire un achat ou quand vous commandez un nouveau à votre banque. La carte de crédit, le transfert et bientôt le transfert instantané offrent plus de garantie. Les seniors sont donc incités à adopter à ces techniques modernes plutôt que de continuer à prendre le temps de rédiger leurs talons à la caisse. Il est également possible d’agacer certains clients dans la file d’attente.
Les différents types de chèques frauduleux ?
En général, il existe quatre types de chèques frauduleux. D’abord, il y a le faux chèque. Il s’agit d’un chèque vierge, perdu ou volé, sur lequel une fausse signature est apposée par le fraudeur. Ensuite, le chèque falsifié : C’est un chèque qui est régulièrement émis par le titulaire du compte et falsifié par le fraudeur, généralement après avoir été volé. Ce type d’arnaque aux chèques peut porter sur le montant, le nom du bénéficiaire et/ou la ligne magnétique. Elle peut être apparente (rature, surcharge, gommage…) ou quasi indécelable.
D’autre part, il y a aussi le chèque détourné. C’est un chèque quotidiennement émis par le titulaire. En général, perdu ou volé lors de son acheminement vers le bénéficiaire, et remis à l’encaissement sur le compte de la personne qui l’a détourné. Finalement, le chèque contrefait. Il s’agit de la fabrication ou de la reproduction, par des faussaires, d’un chèque tiré d’un modèle existant.