Après sa robe moulante sans soutien-gorge, Anne-Claire Coudray s’excuse auprès des téléspectateurs

Anne-Claire Coudray s’est attiré la foudre des internautes en arborant une robe moulante sans soutien-gorge sur le JT des 20 heures. La journaliste est à la tête de ce journal depuis 2015 en remplaçant la grande Claire Chazal. Au fil du temps, elle a réussi à faire oublier cette dernière.

Anne-Claire Coudray critiqué à cause d’une robe moulante sans soutien-gorge

Il y a des années de cela, cette journaliste avait été au cœur de toutes les discussions. En effet, Anne-Claire Coudray avait arboré une robe moulante sans soutien-gorge en présentant le JT de 20 heures. Un choix de tenue qui est loin de faire l’unanimité auprès de certains internautes. Ces derniers affirment notamment que les journalistes doivent rester formelles.  Ainsi, à leurs yeux, la journaliste de TF1 n’a pas le droit de s’habiller comme elle le souhaite.  Bien évidemment, Anne-Claire Coudray a fini par prendre la parole sur ce sujet.

Depuis quelques décennies, les femmes doivent toujours se justifier dans leurs choix. Cependant, elles doivent etre jugé sur leur professionnalisme que sur son choix de tenue.  Toutefois Anne-Claire Coudray a décidé de s’excuser après le port de cette robe moulante sans soutien-gorge. « Ce n’était surtout pas un coup de com’, mais plutôt un mauvais choix de vêtement. Je pars du principe que la séduction n’a rien à faire sur un plateau de télévision quand on présente le journal. C’était une question de matière de robe et j’en suis vraiment désolée, espérant que les gens n’ont pas été choqués » avait-elle déclaré.

Un avenir incertain sur TF1

Anne-Claire Coudray s’est donc excusé suite au port d’une robe moulante sans soutien-gorge. Néanmoins, en plus elle a aussi fait des confidences concernant sa carrière et son avenir. Effectivement, la journaliste ne souhaite pas finir ses vieux jours en direct sur TF1. « Dans vingt ans, je ne serai plus là. Pour une raison assez simple déjà, parce que j’aurai l’âge de partir à la retraite, 65 ans […] et puis parce que ça demande tellement d’énergie que peut-être, à un moment donné, quand je sentirai que j’ai moins de punch pour le faire. Je préfèrerais sans doute arrêter, parce qu’on ne peut pas le faire à demi ce métier-là. Ça demande tellement de concentration, d’énergie, la nécessité d’être disponible, de porter à bout de bras une rédaction, il faut vraiment en avoir envie » avait-elle affirmé sur son avenir professionnel. Toutefois, ces propos ont été martelé avant la mise en place de la réforme des retraites. Ainsi, il se peut que la journaliste ne prendra notamment sa retraite qu’à ses 67 ans.