Alzheimer : ce fruit de saison diminuerait considérablement les risques de la maladie !
Il semblerait que certains fruits peuvent capable de ralentir la progression la maladie d’Alzheimer. Il s’agit d’une maladie neurodégénérative qui induit une perte de la mémoire dans le temps. Cette maladie provoque aussi la perte de certaines fonctions cognitives. Des conséquences qui, vont impacter le quotidien de celui qui en est atteint. L’Alzheimer touche la plupart du temps les personnes qui ont plus de 65 ans.
Un nouveau traitement fait son apparition
La maladie d’Alzheimer touche chaque année pas moins de 900 000 personnes en France. À ce jour, les traitements concernant cette maladie n’arrivent pas à ralentir la dégénérescence. Cependant, les chercheurs américains ont trouvé un nouveau traitement qui n’est autre qu’un fruit. Ce dernier serait capable de préserver le cerveau. Il s’agit donc de la Fraise qui est un fruit riche en pélargonidine qui est un pigment végétal qui est aperçu dans plusieurs fruits rouges. Ainsi, ce fruit va prévenir de la maladie d’Alzheimer.
Pour en arriver à de telles conclusions, les chercheurs de l’université Rush de Chicago, aux États-Unis, ont étudié des données de santé. En effet, ils ont mis en place des évaluations et questionnaires sur les habitudes diététiques des plusieurs sujets. Vraisemblablement, ceux qui ont consommé plus de pélargonidine affichaient une charge amyloïde moindre. Notant que les baies rouges et les fraises sont riches en pélargonidine. « La consommation de fraise et de pélargonidine était associée à moins d’enchevêtrements de tau phosphorylé ». Les chercheurs ont alors fait part de ces nouvelles trouvailles dans le Journal of Alzheimer’s Disease publié le 19 juillet dernier.
Un fruit pour prévenir de la maladie d’Alzheimer
La pélargonidine est un pigment végétal qu’on retrouve dans la nature des fraises. Effectivement, c’est un élément vraiment important dans la production de cytokines.
« Les propriétés anti-inflammatoires de la pélargonidine peuvent diminuer la neuroinflammation globale, ce qui peut réduire la production de cytokines« , affirme le Dr. Julie Schneider, neuropathologiste à l’Université Rush et auteure de l’étude. Malgré le rapport entre ce fruit et la maladie d’Alzheimer, cette étude rester baser sur une simple observation. Par conséquent, le rapport de causalité n’a toujours pas apporté ses preuves.