Entre 2021 et 2022, la taxe foncière a connu une hausse de 4,7% sans précèdent dans les 200 plus grandes villes de France. Un contexte qui est due à la crise économique que le pays vit ces derniers mois. Le pouvoir d’achat des Français sont vraiment mis à mal.
Une augmentation sans précèdent
Cette hausse de la taxe foncière va grandement impacter plusieurs foyers et surtout les retraités. Effectivement, cela va peut-être mettre plus d’un sous le seuil de pauvreté. Ainsi l’UNPI veut que cette taxe soit plafonnée pour ne pas mettre à mal le pouvoir d’achat des Français. Notant que cette augmentation est due à l’inflation, qui a entraîné une augmentation des valeurs locatives de 3,4% en 2022. En plus, il y a aussi les différentes régions, qui ont connu une hausse de 1,3% en 2022 et de 11,3% en dix ans.
Voici la liste des villes les plus touchées par cette hausse de la taxe foncière :
- Poissy (Yvelines) : + 23,9%
- Mantes-la-Jolie (Yvelines) : +22,2%
- Martigues (Bouches-du-Rhône) : +19%
- Bagnolet (Seine-Saint-Denis) : +18,6%
- Marseille (Bouches-du-Rhône) : +16,3%
Ces chiffres sont vraiment différents selon les localités. L’UNPI affirme que cela va se poursuivre l’année prochaine. Par conséquent, les valeurs locatives seront à 7% en 2023 selon le projet de loi de Finances 2023 présenté par Bercy. Mais une majorité politique veulent proposer un amendement qui limiterait cette augmentation à 3,5%.
Comment limiter la hausse de la taxe foncière ?
l’UNPI annonce qu’il faut se préparer a une nouvelle hausse de la taxe foncière en 2023. Effectivement, il veut aussi une prise de conscience de cette situation par tous les acteurs concernés. Il suggère une action pour stopper cette nouvelle flambée de la taxe foncière en 2023.Une situation qui va mettre à mal de nombreux ménages français. Par ailleurs, il est aussi nécessaire de se repencher sur la fiscalité locale. Il est notamment nécessaire de trouver un équilibre. La meilleure solution reste le plafonnement de la taxe foncière.