Entre la crise sanitaire et le contexte actuel, les arnaques ne cesse d’exploser. D’ailleurs, une nouvelle escroquerie fait de nombreuses victimes depuis quelque temps. Les détails.
Une nouvelle arnaque fait rage
Le mois d’août commence mal pour les Français. Et pour cause, une nouvelle arnaque a été lancée ce lundi 1er août selon l’annonce de la radio Europe 1. En effet, depuis le début de ce mois, des malfaiteurs envoient un mail à nombreuses personnes en se faisant passer pour la police. Dans celui-ci, ils disaient savoir des images mettant en avant des enfants dans des moments malsains qui étaient détenus ou que des photos malsaines étaient envoyées à des mineurs.
De ce fait, les arnaqueurs menacent de poursuivre les personnes cibles en justice. Eh oui, vous l’avez compris. Pour qu’ils lâchent l’affaire, il faut que les victimes versent de l’argent aux soi-disant policiers. Malheureusement, selon la radio, des milliers de personnes tombent dans leur piège.
Des victimes paient le prix fort
Bien évidemment, cette nouvelle arnaque devient plus grave pour les victimes quand ils se font voler de l’argent. À ce niveau, l’escroquerie passe à une autre dimension puisqu’elle peut chambouler la vie de nombreuses gens. Pour sa part, le général Christian Dominguez, directeur général de la Gendarmerie nationale, a déclaré : « Je reçois des chèques chaque semaine. La bonne nouvelle, c’est que je n’encaisse pas les chèques ».
Avant d’expliquer : « La mauvaise nouvelle, c’est que certaines personnes sont prêtes à payer 5 000 à 10 000 euros pour qu’il n’y ait plus de poursuites judiciaires. Le disque dur va être intéressant. Donc, je fais un article 40 et on démarre une enquête ». En ajoutant que : « L’article 40 du code pénal permet à toute autorité de dénoncer des faits potentiellement répréhensibles au procureur de la République ».
Concernant cette nouvelle arnaque, le général Christian Dominguez affirme que : « Ça vient d’Afrique ». Et de préciser : « On a interpellé une dizaine de personnes déjà. Il y a des gens qu’on ira interpeller en Afrique, mais c’est un peu plus compliqué. Mais j’ai eu mon homologue du pays en question et j’espère qu’on interpellera assez vite. Cela étant, ça continuera, c’est tellement facile ». En tout cas, il faut faire attention !