Le gouvernement a décidé de simplifier le versement des aides de la CAF en le réalisant de manière automatique.
Versement automatique des aides de la CAF : vers une simplification des démarches
La caisse d’allocations familiales (CAF) annonce une très bonne nouvelle pour les citoyens Français dans le besoin. En effet, le gouvernement a décidé de mettre en place le versement automatique pour certaines allocations. Cela permettra de simplifier les démarches administratives et ainsi limiter le taux de non-recours. Le versement de ces aides se fera donc désormais automatiquement : revenu de solidarité active connu sous le terme RSA, la prime d’activité et l’aide personnalisée au logement (APL). Il faut dire que le non-recours représente 10 milliards d’euros en une année.
Mais la CAF précise que les allocataires doivent quand même faire une déclaration préremplie avant d’attendre quoi que ce soit. Il faut dire que cette démarche de la CAF est plus que nécessaire car le montant des aides non réclamées augmente de plus en plus au fur et à mesure des années.
Beaucoup d’allocations sont concernés par cette facilitation des démarches
Afin de mettre en place le versement automatique des aides de la CAF, le gouvernement va mettre en place un modèle de déclaration préremplie comme pour l’impôt sur le revenu. Ainsi, il y aura une nouvelle ligne sur le bulletin de salaire, qui va mentionner le montant net social. Ce dernier va servir de référence au calcul des prestations sociales.
Ainsi, en 2024, la RSA, la prime d’activité et l’APL arriveront automatiquement sur votre compte bancaire. Si vous l’ignorez, ce projet était une proposition de la liste d’opposition lors des municipales à Tourcoing, dans le Nord. Il s’agit de Gérald Darmanin qui était ministre des Comptes publics à l’époque. Selon ces discours, comme le gouvernement procède au prélèvement à la source pour les impôts, il doit être capable de verser les allocations à la source. Nous observons alors actuellement la réalisation du projet de ce fameux candidat. Il faut dire qu’à cause des démarches à rallonge, beaucoup de bénéficiaires renoncent à leur droit malgré la crise.