Pendant que Charlène de Monaco est encore internée en suisse, elle est en contact permanente avec le Prince Albert. Bien évidemment, au centre de leur discussion se trouvent leurs jumeaux, Jacques et Gabriella.
Charlène de Monaco veut vivre loin de la principauté
Une fois de plus, le magazine Voici a les yeux rivés sur Charlène de Monaco. Cette dernière est encore en ce moment en pleine convalescence dans une clinique en suisse. Vraisemblablement, la princesse serait gravement atteinte d’une dépression. Ainsi, la mère des jumeaux est en train de souffrir d’un épuisement moral, mais aussi physique. Tout cela est dû aux pressions qu’elle subit sur le Rocher.
Entre ses responsabilités et sa vie privée, Charlène de Monaco part totalement en vrille. Ainsi, la première dame du Rocher ne veut même plus retourner à Monaco. En effet, la jeune femme rêve d’emmener ses jumeaux Jacques et Gabriella vivre loin de la principauté. À trois, ils vont vivre peut-être en Afrique du Sud qui n’est autre que son pays d’origine. « Elle veut s’installer ailleurs avec eux. Que ce soit Albert qui fasse des aller-retour pour les voir », avait déclaré une source proche de la famille princière de Monaco.
Charlène et Albert, en contact permanent
Charlène de Monaco veut à tout prix s’éloigner de la principauté avec ses enfants. La princesse ne veut en aucun cas refaire partie de ses affres du stress et de l’angoisse. Pour son bien, la femme du Prince Albert II doit éviter toute contrariété. Néanmoins, Charlène de Monaco et le souverain Monégasque sont en permanence en relation malgré la distance.
D’après le magazine Voici Charlène de Monaco est « En lien en permanence avec Albert par mails ou par texto au sujet des enfants ». À cause de cette proximité des époux, Charlène de Monaco a pu constater que Caroline de Monaco est devenue une seconde mère pour ses jumeaux. Vraisemblablement, la sœur du Prince Albert II est fortement inquiète en ce qui concerne la socialisation de Jacques et Gabriella. Après leur retrait de l’école, ils sont désormais scolarisés à domicile.