Andrea Casiraghi, autorisation spéciale, étrange visite à Charlène à Zurich

Caroline de Monaco et Andrea Casiraghi, « autorisation spéciale », leur mystérieuse visite à Charlène à Zurich

Pour rendre visite à Charlène de Monaco, Andrea Casiraghi, le fils de Caroline de Monaco, avait eu droit à une autorisation spéciale.

Caroline de Monaco et Andrea Casiraghi, une visite surprise pour Charlène de Monaco

Au mois de novembre dernier, Charlène de Monaco était de retour de l’Afrique du Sud après des mois d’absence. Malheureusement, la princesse a été internée dans un centre spécialisé en Suisse à Zurich. En effet, elle a dû se remettre de sa fatigue morale et physique. Bien évidemment, au début de son séjour dans ce centre, Charlène de Monaco n’avait pas droit à des visites. Ce traitement avait pour but de la remettre sur les rails et sur pied.

Heureusement, pour la fête de fin d’année, Charlène de Monaco a eu droit à des visites de la part de son mari et ses enfants. Mais leurs retrouvailles étaient de courte durée. Cette semaine, la version suisse de 20 minutes avait parlé d’une autre visite mystérieuse pour la princesse. Cette fois c’est son neveu, Andrea Casiraghi, accompagné des jumeaux Grimaldi qui l’ont rendue visite. C’est une visite qui a eu lieu suite à une autorisation spéciale de l’institution.

Un retour probable très prochainement

Charlène de Monaco serait peut-être de retour au Rocher pour la fin du mois de janvier. Cependant, aucun membre de la famille royale monégasque n’a parlé de cette nouvelle. De son côté, le palais ne s’était pas non plus prononcé sur cette affaire. Par contre son mari, le Prince Albert II, avait fait des confidences sur l’état de santé de Charlène de Monaco. Un sujet que le souverain monégasque avait abordé auprès de Paris Match en novembre dernier.

« Elle souffre d’épuisement général, physique et moral. Si bien que nous avons décidé ensemble, et avec nos familles proches. La meilleure chose serait qu’elle puisse se reposer calmement hors de Monaco. Cela pour des raisons évidentes de discrétion et de confort », avait confié le Prince Albert II.

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