Visa Schengen : Les autorités vont analyser des réseaux sociaux des demandeurs
Avec le temps, tous connaissent des évolutions. Il en est de même concernant les critères d’obtention d’un visa Schengen. Dernièrement, la police allemande a mis en place une nouvelle méthode pour enquêter sur les demandeurs de visa. Cela implique l’analyse des réseaux sociaux dans le processus d’évaluation. De quoi inquiéter les fraudeurs.
Les réseaux sociaux : un nouvel outil pour l’obtention du Visa Schengen
Eh oui, c’est vrai ! Si vous venez de préparer votre candidature à un visa Schengen, vous serez probablement intéressé de savoir que tout cela peut enfin servir à quelque chose. Toujours d’un point de vue critique, je mentionne cela en remarquant le parachutage d’une installation de renseignement légale civilisation. Mais à mon avis, un rapport publié par l’organisation Statewatch est toujours une preuve. La nouvelle méthode allemande de l’exemple de la police — Analyse des réseaux sociaux pour un visa Schengenet. En d’autres termes, les autorités vérifient les informations publiquement accessibles sur les utilisateurs de réseaux sociaux pour obtenir des visas sociaux pour éviter les fraudes.
Quelle est la solution ? En consultant les publications, les groupes que les candidats fréquentent et en étudiant leurs activités en ligne, les autorités peuvent se faire une idée plus précise du parcours et des intentions véritables des demandeurs. Cela peut concerner un pays qu’ils prévoient de visiter, une entreprise où ils travaillent ou des membres de leur famille. Dans l’ensemble, il s’agit de vérifier que les informations connues des autorités concordent avec la réalité. Cette analyse de l’ensemble des réseaux sociaux pour le visa Schengen entre dans le cadre de la prévention des mauvaises utilisations, voyez-vous.
Vers une approche plus systématique
Il convient de noter que si tel est le cas, l’examen des demandes de visa sur la base de ressources telles que celles-ci n’est pas une approche complètement nouvelle. Il est devenu beaucoup plus structuré à l’heure actuelle. Selon le manuel de la police du pays, cette analyse doit être structurée et détaillée pour le visa Schengen. Les « profils de risque » sont établis sur la base du sexe, de l’âge, de la nationalité. Il y a aussi d’autres critères du demandeur, y compris son itinéraire. Ces profils permettent d’identifier les participants soupçonnés de fraude.
Le concept soulève cependant des préoccupations liées à la vie privée. Bien entendu, les enquêtes sont limitées aux données accessibles au public, mais découvrir que vos publications sur les réseaux sociaux peuvent être lues par les autorités est franchement effrayant. Les autorités soutiennent toujours qu’elles respectent scrupuleusement les lois en vigueur liées au contrôle des frontières et à l’obtention de visas. Toute l’Europe semble adopter le même concept.
L’agence de protection des frontières de l’Union européenne, Frontex, travaille également sur des systèmes de surveillance similaires. Le futur ETIAS européen travaillera avec des algorithmes pour analyser les demandes de visa pour déterminer la probabilité de risque. En conclusion, lorsque vous envisagez un voyage dans l’espace Schengen, il est essentiel de s’assurer que vos comptes en ligne correspondent aux informations que vous fournissez dans votre candidature. Évitez de publier tout, car l’inspection des réseaux sociaux pour le visa Schengen est un moyen de plus en plus populaire aussi.