Rentrée scolaire : ARS, bourses… Voici les aides et allocations qu’il est possibles de bénéficier

Rentrée scolaire : voici les 5 aides financières méconnues destinées à vos enfants

Il existe 5 aides financières afin d’aider les parents pour la rentrée scolaire. Faire face aux dépenses durant cette période est loin d’être chose facile.

Les aides financières pour la rentrée scolaire : celle pour payer la cantine

Il existe des départements qui offrent une aide dans le primaire. Ainsi, ils prennent en charge une partie ou la totalité des frais de cantine de votre enfant. Le montant de cette aide varie en fonction des ressources. Le Pas-de-Calais et le Finistère offrent aussi cette aide financière.

De leur côté, les élèves au collège et au lycée peuvent compter sur le Fonds social pour les cantines. Pour le toucher, il suffit de se tourner vers l’assistante sociale du collège ou du lycée ou au secrétariat de l’établissement scolaire. C’est le chef d’établissement qui en est responsable. Il en est de même pour les départements (qui gèrent les repas des collèges), et les régions (pour les lycées).

Le Pass’sport

Dans la liste des aides financières pour la rentrée scolaire, il y a le Pass’Sport. Effectivement, elle est offerte aux Français âgés de 6 à 30 ans d’une hauteur de 50 euros. Elle a été mise en place pour financer tout ou partie d’une inscription dans une association sportive, un club ou une salle de sport. Pour les jeunes de 6 à 17 ans, il faut bénéficier de l’Allocation de rentrée scolaire (ARS) ou de l’allocation d’éducation de l’enfant handicapé pour pouvoir toucher cette aide.

Les aides financières pour la rentrée scolaire : des aides au lycée

Pour les lycéens, il y a la « bourse de lycée » qui peut être demandé au moment de l’inscription ou de la réinscription de l’élève dans un établissement, avec la nouvelle procédure automatique. Si cette étude automatique ne s’était pas faite, la demande peut se faire en ligne. Pour cela, connectez-vous sur le portail Scolarité–Services du 1er septembre au 17 octobre. Pour l’année scolaire 2024-2025, le montant de l’aide varie de 474 euros pour le premier échelon à 1 008 euros, par an, pour le sixième et dernier échelon. La somme est versée en trois fois c’est à dira à chaque trimestre.

Par ailleurs, les lycéens boursiers ont droit à une prime d’équipement, versée au premier trimestre, d’un montant de 341,71 euros. Ceux en internat peuvent bénéficier d’une prime allant de 327 euros (premier échelon) à 672 euros (sixième échelon), versée trois fois. Cependant, les jeunes ayant obtenu la mention « bien » ou « très bien » au Brevet ont le droit à la Bourse au mérite. Son montant se trouve entre 402 euros et 1 002 euros, par an, selon l’échelon de votre enfant. Quant aux jeunes de 16 à 18 ans, « qui ont abandonné leur formation et reprennent des études à finalité professionnelle » peuvent bénéficier d’une prime de reprise d’études, d’un montant de 600 euros. D’ailleurs, il y a aussi un fonds social lycéen dans les établissements publics et permet de faire face à des dépenses liées à la scolarité.

La bourse au collège

La procédure de demande de bourse ressemble à celle attribuée au lycée. Toutefois, les montants changent. Car cette fois, l’aide est de 114 euros (pour le premier échelon), 315 euros (pour le deuxième) et 495 euros (pour le troisième et dernier échelon). Elle est versée chaque trimestre. Les collégiens peuvent aussi toucher la prime à l’internat, d’un montant entre 327 euros (premier échelon) et 465 euros (dernier échelon).

Les aides financières pour la rentrée scolaire : la bourse en école élémentaire

Pour les plus jeunes, du CP au CM2, ils ont droit à la « bourse de fréquentation scolaire ». C’est une aide qui vient de certains conseils départementaux. « Cette aide est destinée aux parents qui doivent scolariser leur enfant dans une école élémentaire d’une commune voisine. C’est en qualité de demi-pensionnaire ou de pensionnaire, en l’absence d’école dans leur commune d’habitation » pouvait-on lire. Les conditions d’attribution varient selon les départements, mais au minimum, il faut une distance de plus de 3 km du domicile familial.

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