Choisissez Trikeri pour vos prochaines vacances afin de profiter de la mer et du soleil sans pour autant se ruiner.
Vacances à Trikeri : il s’agit d’un véritable havre de paix !
Il existe un endroit sûr, sans touristes, où l’on peut manger, boire et dormir pour seulement 15€ par jour. Dès le premier regard, cette destination vous enchantera ! Cependant, si vous avez envie de vacances à la manière de Mykonos, vous êtes au mauvais endroit. En effet, ce n’est pas le lieu pour faire des plongeons dans la piscine au rythme des derniers hits et des cocktails glacés. D’ailleurs, le charmant vieux Trikeri est réservé à quelques privilégiés, très peu. C’est une petite île d’une beauté envoûtante, au sud du Pélion en Grèce. Le temps semble s’être arrêté, ainsi vous passerez des vacances économiques mais luxueuses à Trikeri !
Vous en serez convaincus dès votre première visite. Apportez votre maillot de bain, quelques vêtements pour tous les jours, votre partenaire et un bon livre. Ce sera tout ce dont vous aurez besoin. L’île n’est accessible que par bateau-taxi ! Les voitures sont inutiles car vous pouvez la parcourir à pied en trois heures. Les plages ne sont pas nombreuses, mais elles vous satisferont pleinement. Les habitants les nomment Afetka, Agia Sofia et Prasini Ammos. Sauvages, avec des eaux turquoise incroyablement propres, elles vous donneront envie de ne jamais les quitter.
Vous ne regretterez pas votre choix en allant dans cet endroit
À votre arrivée sur l’île de Trikeri pour vos vacances, vous ne rencontrerez que quelques habitants permanents qui tirent leur revenu de leurs commerces locaux. On pense notamment aux tavernes traditionnelles, aux locations de logements et cafés. Si vous n’avez jamais bu de café grec en admirant une telle vue, vous manquez une expérience exceptionnelle. Laissez les serveurs remplir votre table de délices du jour, car ils savent toujours ce qui est le meilleur à savourer. Pour l’hébergement, envisagez de séjourner au Monastère de la Panagia Evangelistria, perché sur la colline de l’île. Initialement construit par des pirates en 1825, il fut achevé en 1837. Ce monastère a été le lieu de vie de 5 000 femmes « de gauche » exilées pendant la guerre civile en raison de leurs convictions politiques.