Un homme en vacances est mort après avoir bu de l’eau en bouteille contaminée. Cet anglais y était avec sa famille et voulait profiter de la période estivale dans l’île de Chypre. Des vacances qui lui a été fatale.
Un voyage fatal
Colin Greenway voulait faire découvrir à sa famille les merveilles de Peyia, une ville chypriote aux paysages enchanteurs. Pour ce faire, il choisit de faire un voyage avec sa femme Sue, leurs deux enfants, Ellen et Matthew, et la mère de Sue, Ann. Ainsi, ils ont pu profiter du soleil, de la plage, et des spécialités locales. Mais la famille ne connaissait pas la parasite du campylobacter. Ce dernier est capable de causer une infection grave soit la campylobactériose. Effectivement, Colin avait attrapé cette maladie qui peut être fatale si elle ne se fait pas traiter à temps.
D’ailleurs, cet homme en vacances est mort après avoir bu de l’eau en bouteille contaminé. Après son arrivée en Angleterre, il a dû être conduit en urgence à l’hôpital. Bien évidemment, les médecins ont trouvé ce qu’il avait mais ne l’a pas traité correctement. Une embolie pulmonaire l’a emporté. Après que cet homme soit mort après ses vacances en famille après avoir bu de l’eau en bouteille contaminé, sa femme Sue a fait part de ses sentiments. « C’était une pagaille absolue. Mais ma plus grande préoccupation à ce sujet est que si je n’avais pas été un professionnel de la santé, rien de tout cela n’aurait été révélé », a-t-elle déclaré. « Mes enfants m’ont appelée et m’ont dit : “J’ai une terrible nouvelle. J’ai trouvé papa mort au lit”. J’ai crié. Tout mon monde s’est écroulé quand il est mort », a-t-elle terminé ses propos.
Une enquête est lancée après la mort d’un homme mort après avoir bu de l’eau contaminée
Avant la mort l’homme de sa vie après des vacances suite à une eau en bouteille contaminée, Sue était déjà en deuil. En effet, elle venait de perdre son père de 88 ans. Ainsi, le décès de son mari l’a vraiment mis à terre. « Je n’ai jamais pu dire au revoir. C’est déchirant. Il était très facile à vivre. Il vivait pour le football », a-t-elle affirmé. Bien évidemment, vue que l’affaire s’est médiatisée, l’hôpital a décidé d’ouvrir une enquête pour mettre des lumières sur les zones d’ombre.
« Il incombe au médecin consultant de vérifier ce que font ses médecins juniors non supervisés le week-end lorsqu’un patient est admis. Ce consultant n’a jamais parlé à ce médecin junior de l’erreur de prescription ou de savoir quelles mesures le cas échéant avaient été prises à ce sujet », confie l’hôpital.