Johnny Hallyday : son garde du corps lâche une bombe, « Après le concert, il a fait venir des filles pour…
L’ancien garde du corps de Johnny Hallyday est revenu sur le penchant du rocker pour la drogue, l’alcool et les plaisirs de la chair.
Johnny Hallyday : Son ancien garde du corps dévoile tout sur ses frasques
Johnny Hallyday était un véritable monstre de la musique qui vivait 200 à l’heure. De plus, il était au premier rang en ce qui concerne les plaisirs et les fêtes. L’ancien garde du corps de Johnny Hallyday se souvient notamment d’une soirée à Genève. Il faut dire que le mode de vie de rocker n’a pas été de tout repos. Si vous l’ignorez, c’est à cause de son mode de vie que l’on l’a surnommé « Le Taulier ». Alcool, drogue, plaisir de la chair définissent parfaitement le rocker.
Patrick Roussel était aux côtés du chanteur entre 1999 et 2011 en tant que garde du corps . Ce dernier a publié son livre « Tout le monde l’appelait Johnny ». C’est pour promouvoir son œuvre qu’il était présent dans l’émission Legend de Guillaume Pley. Une chose est sûre : il n’a pas du tout mâché ses mots.
Ce qui s’est passé à Genève dépasse tout entendement
L’ancien garde du corps de Johnny Hallyday a d’ailleurs confié que le chanteur appelait assez souvent des escorts girls. Il n’hésite même pas à dévoiler que Le Taulier à appeler une escort girl à Genève. Ensuite, Johnny Hallyday emmène des filles dans sa chambre d’hôtel dont une pour l’ex-garde d’hôtel. Mais ce dernier refuse cordialement l’offre. D’un autre côté, la star du rock s’est frité avec Chris Brown car il fumait beaucoup trop. Ce fut en marge de la prime de la Star Academy. Cette situation s’est mal passée car ils ont failli en venir aux mains. Mais Le Taulier a quand même arrêté de fumer tout en faisant une réflexion aux gardes du corps de Chris Brown.
Johnny Hallyday était donc un véritable oiseau de nuit de son vivant. Il n’a pas hésité à aller vers l’obscurité pour s’offrir des plaisirs interdits. Et pour preuve, les après-concerts étaient endiablés du haut de ces 60 ans, vous pouvez donc conclure que c’était encore pire pendant ses jeunes années.
