Pour venir en aide aux citoyens en difficulté, la CAF et les Restos du cœur signent un accord inédit. On espère que cette nouvelle collaboration va porter ses fruits auprès des plus démunis.
La pauvreté en France est de plus en plus invivable
Près de 11 millions de personnes sont pauvres selon les chiffres de 2022. Cela correspond à 17% de la population qui vit sous le seuil de pauvreté. D’ailleurs, plus de la moitié doivent survivre avec moins de 800 euros par mois. C’est pour cela que la CAF et les Restos du cœur s’allient dans le cadre d’un accord. Il faut dire que la pauvreté impacte le portefeuille mais aussi l’alimentation. Et c’est plutôt alarmant car seules 20% des personnes pauvres réussissent à s’en sortir sans y retomber. Heureusement, la CAF est là pour les soutenir au mieux depuis des années. Selon les chiffres, le taux de pauvreté explose dans les Pays de la Loire, car il est aux alentours de 14%. Dans les Sabons, la situation est alarmante car le taux de pauvreté atteint les 50%.
La CAF et les Restos du cœur travaillent main dans la main à travers un accord
Ce nouveau partenariat sonne comme un véritable soulagement pour les plus démunis. Depuis toujours, de nombreuses familles monoparentales et de jeunes profitent des services de la CAF. Cette stratégie montrera aux travailleurs sociaux les points d’accès directs en cas d’urgence. En effet, cet accord entre la CAF et les Restos du cœur va contribuer à un dispositif plus réactif. De plus, les préfectures, le département et les associations des maires prennent également leur responsabilité. Désormais, il y a une feuille de route pour la période 2023-2026. Ainsi, le service pour les habitants des régions aura une amélioration. Pour rappel, selon les chiffres de l’année dernière, il y a eu 100 000 allocataires enregistrés et 681 milliards d’aides versés.
Ce partenariat est donc un coup de pouce inespéré pour les plus démunis. Il faut savoir que les femmes sont plus touchées par la pauvreté car elles sont payées 22% de moins que les hommes. Sans parler des discriminations qu’elles subissent malgré elles et l’inemployabilité qui s’ensuit.