SCOOP Affaire conclue : cet objet acheté 150 euros dans une brocante revendu 127 000 euros pulvérise le record de l’émission
Affaire Conclue est une émission présentée par Sophie Davant qui consiste à vendre des vieux objets à des acheteurs professionnels. Avant que les enchères commencent, un expert examine l’objet et donne une estimation de prix. On trouve toujours des articles uniques sur l’émission. Les passionnés de choses anciennes se régalent devant leur écran. Récemment, un objet historique pulvérise le record de l’objet le plus cher du programme.
Affaire conclue : le miroir Line Vautrin
Le miroir Line Vautrin est un objet historique et qui s’adapte parfaitement à l’émission Affaire conclue. Caroline, la vendeuse, l’a acheté dans un vide grenier. Donc, elle a décidé de l’emmener dans l’émission. Et c’est Harold Hessel qui a donné une estimation. Ce dernier est un expert qui a une bonne connaissance des valeurs des objets. Cet objet emmené par Caroline est unique. En effet, Line Vautrin, le fabricant du miroir a créé un matériau qui n’existe nulle part pour le mettre en œuvre. Il s’agit du talosel, fabriqué à partir de couches de résines traitées. Pour l’expert Harold Hessel, le miroir vaut 6 000 euros. Toutefois, les acheteurs se sont battus pour l’avoir et n’ont pas hésité à proposer de grosse somme. Le record du plus cher objet a même été battu.
Une grosse bataille pour obtenir l’objet
Les acheteurs de l’émission Affaire conclue se sont battus pour acquérir le miroir Line Vautrin. Ce sont Benoît Charraudeau et Damien Tison qui n’ont pas lâché l’affaire. Mais, c’est Benoît Charraudeau qui a gagné le gros lot après plusieurs tentatives. Cependant, la somme qu’il a dépensée pour le miroir est hallucinante. En effet, le miroir a été vendu à 127 000 euros alors que Caroline l’avait obtenu pour la petite somme de 150 euros. La vendeuse a donc fait une très bonne affaire. Même si elle avait envisagé de vendre son objet à quelques milliers d’euros, elle ne s’attendait pas à cela. Ainsi, elle va utiliser l’argent pour démarrer sa propre entreprise de brocante, d’antiquités et de restauration de miroirs anciens à la feuille d’or.