Mélissa Theuriau vient de faire des confidences sur son addiction de la télévision. Malgré cela, elle avait fait le choix de quitter M6 il y a dix ans pour être réalisatrice de documentaires.
Une passion exceptionnelle
Mélissa Theuriau confirme avoir une addiction pour la télévision. En effet, elle fait partie de ces personnes qui adorent passer de longues heures sur son canapé devant la télé. Bien évidemment, comme carrière, elle avait choisi de devenir journaliste pour M6. Cependant, il y a dix ans, la journaliste tourne le dos à la chaine et se consacre à la réalisation de documentaires. « Je ne suis pas du tout nostalgique de cette période », avait-elle confié. « Aujourd’hui, je suis très heureuse loin des caméras, de libérer un peu d’image et me concentrer sur le fond, les équipes, et rencontrer des gens de talents » ajoute Mélissa Theuriau. Son désir de réalisation vient de son envie d’aller filmer la vie des habitants de Gaza. Toutefois malgré son statut, personne ne voulait la suivre dans son rêve. « J’avais une soif de liberté que je n’avais pas en télévision », affirme-t-elle. « Incarner une émission est source de beaucoup de plaisir et de joie, donc je ne renie pas ce que j’ai fait. Mais c’est une façon d’œuvrer beaucoup plus formatée, où on vous accompagne dans un couloir qui est tracé, et dont on ne sort pas » avait-elle poursuivi.
Mélissa Theuriau tente de lutter contre son addiction
Même aujourd’hui, Mélissa Theuriau fait toujours face à son addiction à la télévision. D’ailleurs, il se peut qu’un jour la journaliste revienne à la télévision ou sur un autre support. Elle a notamment produit l’émission « Au tableau ! » sur C8 et Canal+, où des enfants interrogent des personnalités politiques. « La télé ne me manque pas. Après, ça ne veut pas dire ne jamais y revenir, ou sur un autre support », avoue-t-elle lors du festival CanneSéries. Pour le moment, la journaliste continue de mener sa carrière de productrice avec passion. En même temps Mélissa Theuriau lutte contre son addiction à la télévision, qui reste pour elle un plaisir coupable assumé.