Epargne : Découvrez pourquoi vous pourrez bientôt placer plus d’argent sur votre Livret A et votre LEP
L’inflation a chamboulé la vie des français. Tout le monde est obligé de changer ses habitudes dans les dépenses. On ne doit plus qu’acheter les essentiels et arrêter les dépenses superflues. A part cela, placer son argent est devenu important. Il existe plusieurs placements mais le livret A et le LEP sont particulièrement connus pour être meilleurs. Cependant, leur plafond laisse à désirer. Ainsi, la hausse du plafond du livret A et du LEP est donc très attendue.
Les deux meilleurs placements pour les français
D’abord, le livret A et le LEP font partie des placements préférés des français car ils sont sécurisés. Ensuite, ils sont plafonnés respectivement à 22 950 euros et 7 700 euros. Et cela depuis 10 et 20 ans. Puis, le taux de rémunération de ces deux placements aussi attirent les épargnants. En ce moment, le taux du livret A est à 3% et celui du Livret d’épargne populaire ou LEP à 6,1%. Par ailleurs, pour les français, ce sont les meilleurs refuges pour leur argent.
En effet, selon l’économiste Philippe Crevel, ils préfèrent « renforcer leur épargne afin de pouvoir faire face à des dépenses qui pourraient coûter, à terme, plus cher ». Cependant, l’inconvénient de ces deux placements est donc leur plafond. En effet, ce dernier est assez limité et qui n’est pas adéquat pour le contexte actuel. Ainsi, une hausse du plafond du livret A et du LEP serait donc la bienvenue pour les épargnants.
Une hausse du plafond du livret A et du LEP bientôt ?
D’abord, ce débat sur la hausse du plafond du livret A et du LEP a déjà eu lieu bien avant. En effet, en 2012, François Hollande avait déjà fait la promesse d’une augmentation à 30 600 euros pour le livret A. Cependant, l’augmentation a eu lieu mais n’a pas atteint cette somme. Actuellement, « 67% des Français sont en effet favorables à une augmentation du plafond du Livret A, et 68% à un relèvement du plafond du LEP ». Pour le LEP par exemple, augmenter son plafond à 10 000 euros « constituerait un vrai plus pour le pouvoir d’achat des ménages les plus modestes », estime Aurélien Soustre, représentant de la CGT-banques et assurances au Comité consultatif du secteur financier (CCSF).