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Réforme des retraites : Jean-Luc Mélenchon attaque violemment Emmanuel Macron et l’accuse d’être « un voleur de vie »

Jean-Luc Mélenchon attaque violemment Emmanuel Macron à la suite de sa décision de promulguer la loi sur la réforme des retraites. Il accuse le chef d’État d’être « un voleur de vie ».

Jean-Luc Mélenchon s’en prend à Emmanuel Macron

Le torchon brûle entre Emmanuel Macron et les opposants de la réforme. En effet, le Chef d’État a officiellement promulgué la loi sur la réforme de retraites le samedi 15 avril 2023. Ainsi, le report de l’âge de départ à 64 ans a été publié au Journal officiel le samedi matin même. Une décision qu’il a prise dans la soirée du vendredi. Soit, quelques heures après que le Conseil constitutionnel a validé l’ensemble des mesures essentielles de cette réforme. Pourtant, il disposait de quinze jours pour prendre la décision. D’ailleurs, plusieurs leaders des syndicats l’ont demandé « solennellement » de ne pas le faire. Mais il a opposé une fin de non-recevoir.

Une chose est sure, cette réforme est loin de plaire. Les opposants à la réforme dénoncent en effet une régression sociale et une baisse du niveau de vie des futurs retraités. Une vision qui est partagée par Jean-Luc Mélenchon. Si bien qu’il a poussé un violent coup de gueule face à la décision d’Emmanuel Macron de promulguer la loi sur la réforme de retraite. Visiblement en colère, l’homme politique a traité le chef d’État de « Voleur de vie ! », sur Twitter le samedi matin. Il estime que « Macron a voulu intimider toute la France dans la nuit ». Jean-Luc Mélenchon qualifie l’attitude d’Emmanuel Macron « d’absurde affichage d’arrogance ».

Un appel à manifestation

Bien évidemment, certains ministres n’ont pas hésité à s’exprimer sur le sujet ce samedi matin. Ils soulignent sur la logique de la décision d’Emmanuel macron à promulguer la loi après la décision du Conseil constitutionnel. « C’est le suivi logique d’une décision du Conseil constitutionnel », a expliqué Franck Riester, ministre chargé des Relations avec le Parlement au micro de France Inter. Stanislas Guérini, le ministre de la Fonction publique, quant à lui, a indiqué que le chef d’État a simplement « appliqué la loi ». Quoi qu’il en soit, l’intersyndicale ne décolère pas. « Ce n’est pas fini», ont-ils déclaré. Ils appellent les Français à se manifester et à se mobiliser en masse ce 1er mai. Affaire à suivre…

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