Cette année 2023, les français vivent encore dans le contexte de l’inflation. Pour les soutenir, le gouvernement n’a pas d’autres choix que de revaloriser les aides sociales. Pour le nouveau mois qui arrive, il y aura aussi d’autres nouveautés. Découvrez ce qui change donc au 1er Avril 2023.
Ce qui change au 1er Avril 2023
D’abord, ce qui change au 1er Avril 2023, c’est le montant des prestations sociales. Normalement, les allocations familiales, le RSA et la prime d’activité devaient initialement être revalorisées à 5,6%. Ainsi, une augmentation de 4% a déjà été faite le 1er juillet 2022. Donc, il ne reste plus qu’une revalorisation de 1,6% pour compléter ce chiffre. Concernant le RSA ou revenu de solidarité active. Sa valeur actuelle est de 598,54€, et celle-ci va passer à 607,75€ pour une personne seule. Ensuite, pour un couple avec deux enfants, le montant des allocations familiales va passer de 139,83 euros à 142,07 euros. Pour le cas des allocations d’assurance chômage, la revalorisation atteint les 1,9%.
Puis, l’AAH aussi est concerné par l’augmentation. Ainsi, les bénéficiaires recevront 971,96 euros par mois, soit 15,31 de plus. Par ailleurs, l’Allocation d’éducation de l’enfant handicapé ou AEEH est aussi concerné par l’augmentation. Son montant sera de 142,69 euros. Le montant de la prime d’activité fait aussi partie de ce qui change le 1er avril 2023. Pour les personnes qui vivent seules, il passera de 586,23€ à 595,25€.
Les autres changements qui sont mis en place
Une autre modification qui n’est pas vraiment une bonne nouvelle. Et pour cause, ce nouveau mois annonce la fin de l’indemnité carburant. Pour rappel, elle a été versée à 10 millions de travailleurs les plus modestes. Pour rappel, pour en faire la demande, il faut remplir un formulaire sur le site impots.gouv.fr. En outre, les changements de ce mois ne concernent pas uniquement les aides sociales. En effet, un tout autre sujet est concerné par une modification. Le Code pénal fait aussi partie de ce qui change le 1er Avril 2023. Ainsi, l’outrage sexiste et sexuel devient un délit passible de 3.750 euros d’amende. A noter que jusqu’ici, il s’agissait d’une infraction sanctionnée par une contravention. L’objectif est de prévenir toujours plus le harcèlement de rue et renforcer sa répression.