Anne-Claire Coudray : la vraie raison de son départ brutal du JT de TF1 enfin dévoilée
Les téléspectateurs se sont sûrement demandés pourquoi Anne-Claire Coudray n’a pas été sur le plateau du JT durant quelques jours. En effet, la journaliste s’est absentée du 1er au 7 Février mais elle est désormais de retour. La raison est qu’ Anne-Claire Coudray est partie en Ukraine pour y tourner un reportage. On vous donne les détails.
Le parcours très riche de la journaliste
Avant son arrivée sur la chaîne TF1, Anne-Claire Coudray a toujours été dans le journalisme de terrain. Dès l’achèvement de ses études, elle a intégré le bureau de TF1 à Lille pour réaliser de nombreux reportages. Ensuite, en 2004, elle a occupé le poste du service société en s’installant au siège de la chaîne à Boulogne-Billancourt. Plus tard, plus précisément trois après, elle a été nommée au Service informations générales, pour couvrir des événements de grande importance comme les JO de Pékin en 2008 et les élections présidentielles américaines de 2008.
En outre, la journaliste a déjà présenté TMC Reportages et remplacé les JT sur LCI. En 2010, on la place au poste de grand reporter au service étranger de TF1. Cette opportunité lui a permis de voyager à travers le monde pour couvrir de nombreux événements, comme les élections en Côte d’Ivoire, l’affaire Strauss-Kahn. Pour reprendre le journalisme de terrain, Anne-Coudray était partie en Ukraine.
Anne-Claire Coudray, en Ukraine
Pour diffuser le meilleur documentaire, la journaliste n’hésite pas à prendre des risques. En effet, Anne-Claire Coudray est partie en Ukraine durant une semaine pour rendre visite aux habitants de ce pays qui est en guerre depuis plusieurs mois maintenant. Le documentaire qu’elle a co-réalisé a été diffusé sur TF le 12 Février dernier. Pour ce projet, elle a été accompagnée par d’autres journalistes. Ce reportage permet aux téléspectateurs de voir les effets de la guerre et de découvrir l’ampleur de la situation actuelle. Dans son reportage, on peut voir des images choquantes de ce qui se passe à Boutcha. Elle a posé une question au public : « Depuis un an, la justice ukrainienne a ouvert 66 000 enquêtes pour meurtre et destruction. Est-il possible d’identifier et de juger les coupables ? ».