Crédit immobilier découvrez l'apport personnel attendu par les banques en fonction de votre âge

Crédit immobilier : découvrez l’apport personnel attendu par les banques en fonction de votre âge

Dans cet article, vous allez connaitre l’apport personnel de crédit immobilier attendu par les banques en fonction de l’âge

L’apport personnel attendu par les banques en fonction de l’âge concernant le crédit immobilier

En 2022, la remontée rapide des taux d’intérêts immobiliers couplée à une hausse modérée du taux d’usure. Le taux maximum auquel une banque peut prêter, a bloqué de nombreux dossiers de crédit immobilier. En fait le premier qui s’élève à 1,20% sur 20 ans en mars 2022 contre 2,64% en février 2023. Dans une tentative de remédier à la situation, les emprunteurs n’avaient d’autre choix que de jouer sur un levier qu’ils pouvaient contrôler : l’apport personnel. 

Une étude de Meilleurtaux, présentée ce lundi 6 février, se penche sur l’évolution de cette donnée entre 2019 et 2022. Ainsi, ils ont trouvé l’apport personnel attendu par les banques en fonction de l’âge concernant le crédit immobilier. Résultat : dans quatre ans, chaque groupe d’âge a accru sa contribution.  Si les banques n’ont pas forcément augmenté leurs exigences  les emprunteurs sont libres d’apporter plus pour accéder au bien espéré.

Les emprunteurs plus âgés en ont nécessairement tiré parti

Sans surprise, les personnes âgées sont les mieux placées pour donner leur avis personnel. Après 50 ou 60 ans, « l’achat pour la première fois est remboursé ou sur le point de l’être », explique Maël Bernier, directrice des communications de Meilleurtaux. Ceci rend plus facile pour les emprunteurs de réinvestir de l’argent dans un nouveau projet immobilier. D’après Meilleurtaux, les 50-60 ans ont contribué 54 590 euros en 2019, contre 87209 euros en 2022. Ainsi, l’apport personnel attendu par les banques en fonction de l’âge.

La hausse de l’apport est également spectaculaire chez les 40-49 ans : De 53 205 euros en 2019, l’apport moyen explose à 82 282 euros en 2022. Selon Maël Bernier, « cette catégorie a également fortement épargné pendant la crise du Covid et cela lui permet d’assumer la hausse des prix d’un projet immobilier grâce à son épargne mais sans emprunter plus. » Plus qu’une obligation, l’augmentation de l’apport serait alors un choix pour ces emprunteurs, qui préfèrent abaisser la durée et le coût de leur prêt à domicile.

 

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