« C’est blessant… » Elisabeth Borne répond cash aux critiques des opposants politiques qui la touchent

Depuis plusieurs mois, la réforme des retraites a suscité plusieurs débats. Malgré les oppositions, le gouvernement maintient ses décisions et ne veut pas reculer. Le 10 janvier dernier, la Première Ministre a présenté le projet. Le recul de l’âge de départ à la retraite se trouve parmi les plus grandes mesures de cette réforme. Elisabeth Borne a reçu des critiques de la part des opposants politiques. Elle a donné des réponses cash.

Elisabeth Borne se défend face aux critiques des opposants politiques

Elisabeth Borne a reçu des critiques de la part des opposants politiques par rapport à la réforme des retraites. D’abord, Fabien Roussel, un député communiste, a comparé la Première Ministre à Margaret Thatcher à cause de sa façon de diriger « d’une main de fer ». De son côté, Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, a déclaré qu’elle manquait « d’empathie ». Ainsi, dans une interview, elle a répondu sans détour car elle se sentait attaquée personnellement. « Cela est blessant et va à l’encontre de ma personnalité et de mes convictions », a-t-elle dit dans son interview. En effet, elle a affirmé qu’elle comprenait parfaitement les problèmes financiers des travailleurs modestes. Et pour cause, son « parcours personnel » lui permet de se mettre à leur place. Et l’objectif de la réforme des retraite est justement de prendre en compte leur situation.

Elle met les choses au clair

« Je ne pense pas que ce soit le rôle d’un leader syndical de porter des attaques personnelles », a-t-elle poursuivi en s’adressant particulièrement à Laurent Berger. Les critiques des opposants politiques n’atteignent pas Elisabeth Borne et elle ne veut pas entrer dans ce genre de querelles. En outre, elle ne manque pas d’empathie et son engagement envers les travailleurs modestes est très important pour elle. Donc, elle ne va pas reculer et reste déterminée à poursuivre la réforme des retraites. De plus, ce dernier prend tout à fait en compte les préoccupations et les besoins des travailleurs. Elle est prête pour continuer sa mission en tant que Première Ministre.