Arrivé au cap des 60 ans, à la retraite, vous vous demandez s’il est vraiment possible de renégocier un crédit immobilier. On vous donne la réponse.
À la retraite, certaines personnes ont encore un prêt immobilier à rembourser. Un énorme risque pour les débiteurs. Raison pour laquelle il est indispensable de faire une renégociation. Mais est-ce vraiment possible ? Et comment faire ? On vous dit tout.
Retraite : pourquoi renégocier son crédit immobilier ?
Dans un premier temps, il faut noter que la renégociation d’un crédit consiste à demander à sa banque actuelle de réévaluer à la baisse le taux d’intérêt appliqué. Une chose est sûre, son obtention est loin d’être facile. Ainsi, pour parvenir à le dénicher, il est conseillé de faire appel à plusieurs établissements. Ces derniers donneront des propositions qui serviront de base à cette négociation.
Alors, on se demande s’il est possible de renégocier son crédit immobilier après la retraite. Avant toute chose, il faut savoir que la retraite rime avec baisse de revenus, allant jusqu’à 30 %. Évidemment, cela peut impacter le budget des seniors qui ont encore un prêt à rembourser. Ainsi, pour conserver son pouvoir d’achat, ils tentent la renégociation.
Quand les taux sont en baisse, la renégociation est la seule option permettant d’obtenir des conditions d’emprunt plus favorables. De quoi permettre aux emprunteurs de faire de grandes économies. Comment faire ?
Le moment idéal pour renégocier son prêt immobilier
Pour renégocier son prêt immobilier à la retraite, il est conseillé de bien préparer sa demande en amont. Bien évidemment, il ne faut pas oublier les documents tels que les papiers d’identité, les bulletins de salaire, les relevés bancaires ou encore les avis d’imposition.
Sachez alors que vous pouvez faire la renégociation de crédit immobilier à tout moment. Cependant, avant de se lancer, il faut s’assurer de sa rentabilité. En effet, si le taux reste élevé, ne prenez pas le risque. Il est recommandé de renégocier son crédit immobilier après la retraite lorsqu’il ne reste que 70 000 euros à rembourser.