Carla Bruni se confie sur cette attitude de Nicolas Sarkozy qu’elle n’a pas du tout aimée à la suite de leur premier rendez-vous

Carla Bruni se confie sur cette attitude de Nicolas Sarkozy qu’elle n’a pas du tout aimée à la suite de leur premier rendez-vous

Une soirée inoubliable. En 2007, Carla Bruni tombe sous le charme de Nicolas Sarkozy lors d’une soirée organisée par Jacques Séguéla, un ami qu’ils ont en commun. Du côté de Nicolas Sarkozy, alors président de la République, le coup de foudre est réciproque.

Étape par étape

En contactant la chanteuse, Jacques Séguéla ne s’attendait sans doute pas à une telle réponse de sa part : « Carla m’a dit “Ah non ! Pas ce mec de droite, il n’en est pas question, je ne veux pas le voir ». S’il lui a promis qu’elle serait séduite « en 20 minutes », l’interprète de Quelqu’un m’a dit a pris ça pour un défi : « C’est MOI qui va le séduire en 20 minutes », lui a-t-elle répondu. A alors commencé un jeu de séduction qui ne s’est plus jamais terminé.

Comme l’a précisé Jacques Séguéla, Carla Bruni s’est saisie du portable de Nicolas Sarkozy pour faire un petit tour dans ses contacts et le conseiller sur sa potentielle prochaine compagne. S’il doit désormais en rire, Nicolas Sarkozy n’en menait apparemment pas large sur le moment : « Lui était terrorisé, a précisé Jacques Séguéla. Il était terrorisé de la voir faire ! C’était fait avec beaucoup d’humour. Après ils se sont mis à table. Il s’est collé contre elle. Il a commencé à lui murmurer à l’oreille et ça a duré jusqu’à 2 heures du matin ». Tout le monde connaît la suite…

Carla Bruni en veux encore à Nicolas Sarkozy

Ce Samedi 13 août, Carla Bruni est revenue au micro d’Europe 1 sur cette rencontre qui a changé sa vie. Une rencontre qui aurait pu ne jamais avoir lieu selon les confidences de l’artiste d’origine italienne. « Dîner avec ce président de droite, jamais », a-t-elle d’abord répondu à Jacques Séguéla suite à son invitation. Après avoir hésité, elle décide malgré tout de se rendre à ce dîner. Une décision qui va lui permettre de balayer tous ses aprioris sur le président en exercice : « Je vous avouerais que j’ai senti l’impact des choses ce soir-là », confie-t-elle à Isabelle Morizet. Mais après cette soirée magique, Nicolas Sarkozy ne rappellera Carla Bruni que le lendemain à 16 heures. Une éternité pour l’artiste, qui ne décolère pas : « Je lui en veux encore. Il paye encore ! », explique-t-elle sur le ton de l’humour. 19 ans après leur rencontre, le couple continue de couler des jours heureux.

Publications similaires