Dans ses derniers jours, Daniel Lévi était encore sur un titre qui était cher à son cœur. Notant que c’est le samedi 6 août dernier que l’artiste a tiré sa révérence.
Daniel Lévi penché sur la musique même dans ses derniers jours
Ce samedi 6 août dernier, le monde de la musique était en deuil suite aux décès de Daniel Lévi. En effet, c’est une disparition due aux complications de son cancer du côlon. Notant que le chante a été diagnostiqué avec ce cancer en 2019. Malgré la chimiothérapie, le chanteur est toujours resté très connecté avec sa passion de toujours. D’ailleurs, l’association Torah-Box avait parlé de ce sujet lors de l’hommage dédié à Daniel Lévi ce lundi 8 août dernier. « Lorsque nous avons proposé à Daniel Lévi le projet d’une chanson sur l’amour gratuit, l’été dernier, il a immédiatement accepté. […] Il a agi avec une générosité et une simplicité déconcertantes, qui sont l’étoffe des vraies stars » pouvait-on lire sur Facebook.
D’ailleurs, dans ses derniers jours, Daniel Lévi s’était toujours penché sur la musique. « Alors même qu’il luttait contre la maladie, épuisé par les traitements de chimiothérapie, il mit à profit son petit temps de convalescence pour donner le meilleur de lui-même et envoyer à plusieurs reprises sa ligne de chant jusqu’à ce qu’elle soit parfaite », a ajouté Torah-Box. « Alors même qu’il aurait pu utiliser ce temps pour tout couper, il a réitéré son excitation de faire partie d’une chanson qui parlait du véritable amour, celui qui unit tous les hommes au-delà de toute dissension » avait terminé l’association Torah-Box. Même dans ses derniers jours, Daniel Lévi reste très passionné par la musique.
Des obsèques selon la tradition juive
« Mon mari, mon roi Daniel Haim ben Sarah Lévi a rejoint le Gan Éden » avait affirmé Sandrine Lévi. Cette dernière n’est autre que l’épouse de ce grand artiste. De plus des heures seulement après sa mort, le chanteur a déjà été enterré à Marseille, au cimetière juif Saint-Pierre. Pour cause, ils ont suivi la tradition juive.
« Il importe (sauf exception) selon la loi juive de faire en sorte que l’inhumation puisse se dérouler le plus tôt possible » avait affirmé Midi libre. Ensuite, on pouvait lire dans ce dernier un texte consacré au deuil écrit par le grand rabbin de Paris. Vraisemblablement, même dans ses derniers jours, Daniel Lévi s’est penché sur un titre qui était cher à son cœur.