Marc Lavoine éduqué comme une fille : ce prénom féminin que sa mère lui donnait…
Artiste accompli en tant que chanteur, acteur et parolier, il n’a évidemment pas à rougir de ce qu’il a accompli professionnellement parlant. Et dans sa vie privée non plus il n’a pas chômé. En effet, Marc Lavoine avoue avoir aimé des hommes et des femmes. Certains de ses partenaires ont même tant compté dans sa vie qu’il ne les oubliera jamais. Et Marc Lavoine nous dévoile le prénom que sa mère lui donnait.
Le prénoms que sa mère a donner à Marc Lavoine
C’était à l’occasion de sa promotion pour son nouvel album, Adulte jamais, que Marc Lavoine abordait le sujet de l’enfance. Le 13 février dernier, sur les ondes d’Europe 1, il était donc amené à parler de ses souvenirs d’enfant. Et, question très actuelle, à donner son avis sur les débats autour du genre. Le fait est que Marc Lavoine ne va pas se retrouver dans les prises de position hostiles à la perméabilité du genre. Il a eu l’occasion de se considérer comme un petit garçon et comme une petite fille à la fois.
« Je suis une fille : j’ai été élevée comme une fille par ma mère ». Le prénom que sa mère a donné à Marc Lavoine est Brigitte. « Elle m’appelait Brigitte et m’avait laissé les cheveux longs », racontait ainsi Marc Lavoine. Et visiblement, cela n’a pas traumatisé le chanteur, bien au contraire. Quoi qu’il ait des souvenirs de lui en train de montrer son petit oiseau pour être cru lorsqu’il disait être un garçon.
Son éducation particulière
Marc Lavoine ne raconte pas son enfance dans le but de faire des reproches à sa mère. Et encore moins pour se plaindre. Il semble très détaché du phénomène. Sans doute qu’il a appris à analyser ce qu’il a vécu avec suffisamment de recul. Tant et si bien qu’il sait tirer du positif de cette expérience atypique. Et aussi le prénom que sa mère a donné à Marc Lavoine.
« Tout le monde me prenait pour une fille et j’ai été élevé avec des femmes, donc j’ai une approche différente des choses. », disait-il. Avouant en même temps que les débats sur le genre sont véritablement de faux débats selon lui. Il a en tout cas, les lecteurs le comprendront, quelques difficultés à saisir ce qui peut froisser certains quant à la perméabilité du genre prôné par les nouvelles générations.