Pénurie : ce plat mini prix dont tous les Français raffolent risque de disparaître
Les Français vont devoir dire au revoir à ce plat à cause de la pénurie. Nos plats gastronomiques favoris sont balayés d’un revers de la main.
Ces 3 ingrédients manquent dans les rayons des supermarché
L’industrie de la restauration au Royaume-Uni traverse une crise sans précédent. En effet, la pénurie de ces trois ingrédients risque de faire disparaître leur plat emblématique. D’abord, le poisson blanc manque à l’appel. Plus de la moitié de la commande des restaurateurs n’a pas été honorée. En effet, le poisson blanc est aux abonnés absents dans la Manche et la Méditerranée. Généralement pêchés et envoyés d’Ukraine, le contexte international ainsi que la pénurie remettent tout en question.
Ensuite, l’huile de tournesol traverse une crise sans précédent. Vous souvenez-vous de la scène de panique chez Lidl ? Cette situation est inédite. Les enseignes essaient de jongler entre les pénurie mais en vain. En plus, les consommateurs se méfient de l’huile de palme. Et pour couronner le tout, l’ingrédient qui accompagne le “Fish & chips” manque à l’appel. Une pénurie d’engrais a eu raison des pommes de terre. C’est digne d’un scénario catastrophe !
Le fish and chips : ce plat emblématique est touché par la pénurie
Les Britanniques ont le morale dans les chaussettes. Et pour cause ! Leur plat préféré est en pénurie. Le fish and chips est le plat coup de cœur des petits et des grands. En plus de ne pas coûter cher, on le retrouve partout. Et les restaurateurs prennent plaisir à le décliner sous plusieurs formes. Le confinement a déjà fait des dégâts dans les marges de ces professionnels de l’alimentation. Mais ça ne va pas en s’améliorant car la pénurie risque de pousser le bouchon un peu plus loin.
Actuellement, un Fish and chips coûte plus de 8 livres sterling. Ce plat est culte dans le monde entier. Le voir disparaître mettra ses fans dans le désespoir. Le Fish & chips est le symbole de la culture culinaire britannique. En plus, des bruits de couloir rappellent que c’est le plat favori du prince Charles. Mais, vu comment la pénurie s’accélère, il pourrait totalement s’effacer des assiettes. Affaire à suivre …
