Benjamin Castaldi a pris le flambeau de TPMP en l’absence du grand patron Cyril Hanouna. Et dans ce numéro, l’animateur de C8 en a profité pour balancer le salaire exorbitant des stars de télé-réalité.
Quel salaire touche les stars de télé-réalité ?
Cyril Hanouna est en vacances depuis plusieurs jours. C’est donc Benjamin Castaldi qui mène la danse pour quelques jours cet été. Il a bien profité de la présence de Magali Berdah autour de la table. En effet, le chroniqueur de TPMP a dévoilé le salaire des stars de la télé-réalité. :« On parle de 30,50, 100, 200, 300 000 euros par mois et on m’a dit à l’oreillette que parfois, c’était beaucoup plus ». Ses sommes sont réelles même si les intéressés ne les communiquent pas.
Nabilla, Maeva Ghennam, Manon et Julien Tanti, Jessica Thivenin et Thibault Garcia ou encore Jazz et Laurent Correia sont parmi ceux qui touchent un salaire très élevé. En effet, avec 450 000 à 600 000 euros par mois, ce sont les candidats de télé-réalité les plus riches. Ils peuvent être reconnaissants envers leur émission JLC Family
Magali Berdah défend ses protégés
Concernant le salaire des stars de télé-réalité, Magali Berdah tient à rectifier certaines choses. En effet, sur des milliers de candidats, il n’y en a que quelques-uns, qui gagnent les sommes indiquées par Benjamin Castaldi : “Attention, c’est un panel. Sur 500 ou 1000 candidats, il y en a peut-être 10-15 qui gagnent beaucoup et tant mieux pour eux”. Ensuite, la papesse de la télé-réalité précise que ces candidats rapportent beaucoup d’argent. En plus, ils ont permis à des entreprises de relancer leur e-commerce durant le confinement. Et c’est non négligeable.
Mais Magali Berdah a aussi mentionné que la situation est plus compliquée aujourd’hui. D’autant plus qu’ils essayent d’être plus exigeants et plus qualitatifs qu’avant. Et c’est pour cette raison que les salaires des stars de télé-réalité sont moins élevés. “C’est un nouveau métier qu’il faut professionnaliser. On a appris de nos erreurs pour faire un travail de meilleure qualité. Maintenant, on essaie de faire les choses mieux, donc forcément on gagne moins. Mais on veut faire du qualitatif “ précise Magali Berdah.